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PLACE À LA RELÈVE

Par Simon Lapierre

Conseiller aux ventes

L’industrie du transport scolaire peut sembler figée dans le temps. Or, elle est en pleine évolution, et la première preuve de ça, c’est la place réservée aux jeunes loups motivés (comme moi!) qui ont à cœur la pérennité de fleurons québécois comme Girardin. 

Un parcours en ligne droite

Mon père a passé 30 ans comme électricien chez Hydro-Québec. Il y a eu une bonne carrière, il aimait ce qu’il faisait. Moi, j’avais la bougeotte : pas question de me trouver un emploi statique dans un bureau beige où j’allais brasser des papiers à longueur de journée. J’ai donc décidé de suivre un peu ses traces et de m’inscrire à une formation en électromécanique. J’y ai appris la base de l’électricité, la mécanique, les techniques de machinage, la programmation d’automates, la pneumatique et j’en passe. Ça m’a ouvert des portes dès mon arrivée sur le marché du travail, et j’ai rapidement su que j’avais fait le bon choix. 

Premières armes

Mon tout premier emploi dans le domaine était en mécanique de moteurs électriques. J’exerçais la fonction de technicien en restauration interne de moteur. Comme c’est un procédé hyper spécialisé, on n’était qu’une poignée de professionnels dans la province et, bien humblement, j’étais pas pire pantoute. J’ai restauré des moteurs électriques de A à Z, ce qui fait qu’aujourd’hui, ce type de mécanique n’a (presque!) plus de secrets pour moi. Et même si j’étais très apprécié dans mon travail, que je m’y suis taillé une belle place, il me manquait ce « petit quelque chose » de plus. J’avais besoin de plus de contact humain, de tisser des relations avec les gens. Un moteur, c’est pas tellement jasant! 

Prendre du galon

En 2019, j’ai finalement décroché un poste de représentant sur la route pour un distributeur électrique. Là, le contact humain était bien présent, et j’ai tout de suite su qu’un poste de conseiller aux ventes m’allait comme un gant. J’avais plus d’une centaine de clients, tous entrepreneurs électriciens. Disons que j’ai appris à la vitesse grand V! Que ce soit pour du résidentiel, du commercial ou de l’industriel, j’ai acquis de précieuses connaissances qui me servent encore au quotidien. Et, parce que le pétage de bretelles n’a jamais fait de tort, j’ai été nommé représentant de l’année dès ma deuxième année en poste. Quand on aime ce qu’on fait, ça paraît! Cet emploi m’a permis de bien saisir la réalité des entrepreneurs, des défis auxquels ils font face et de leurs attentes en matière de solutions et conseils. Il a aussi été un formidable tremplin pour la suite. 

Le hasard à l’oeuvre

Lors d’une conversation autour de la machine à café, une collègue de ma blonde lui a dit que son conjoint recrutait un conseiller aux ventes… d’autobus électriques. Voilà qui a piqué ma curiosité. Ma conjointe a tôt fait de nous mettre en contact et, après ma rencontre avec le directeur des ventes, j’ai su que cet emploi me correspondait parfaitement. Des moteurs dont je connais bien les rouages, un travail qui m’amène sur la route à tisser des relations avec des gens de partout, un patron ouvert, tout ça à 10 minutes de la maison? Je signe où? 

Apprendre pour mieux servir

Je suis donc arrivé chez Girardin en janvier 2022. Et même si le poste de conseiller aux ventes correspond en tous points à ce à quoi j’aspirais et que j’ai étudié en électromécanique, j’ai quand même bien des choses à apprendre. J’ai toutefois la chance d’avoir des collègues qui partagent volontiers leur savoir avec moi. Des gars qui sont dans le domaine depuis des années, qui connaissent le produit et leurs clients comme le fond de leur poche. C’est une chance inouïe pour moi de pouvoir profiter de leur expérience et de leurs conseils. Il y aussi la manière de faire Girardin, qui permet à l’entreprise de garder sa position de leader année après année. C’est pas tout de connaître la mécanique : on doit aussi apprendre comment bien servir les clients, les écouter, comprendre leurs besoins et leurs inquiétudes. 
Mon poste de conseiller aux ventes chez Girardin, c’est exactement là où je me voyais. Une entreprise humaine qui excelle dans son domaine et qui collabore avec ses clients pour trouver des solutions concrètes. J’ai des collègues expérimentés qui me guident, me conseillent et me challengent tous les jours pour que je devienne aussi solide qu’eux. Mes connaissances en mécanique électrique et mon expérience en vente me permettent aussi de proposer une valeur ajoutée à mes clients, particulièrement dans le contexte d’électrification du transport scolaire. C’est une belle aventure qui commence!